À propos de Yuan Tze
"La vie doit être grandement valorisée et chérie.
La santé est notre capital le plus précieux dans la vie."
Yuan Tze
Yuan Tze est né en 1962 dans une ville côtière de la Province du Jiangsu en Chine. Il arrête de s’alimenter peu de temps après sa naissance et ni ses parents, ni le docteur n’arrivent à le faire manger. Alors qu’il est très faible, un moine taoïste offre de le prendre en charge. Agé de six mois, Yuan Tze part vivre au temple avec le moine.
La révolution culturelle éclate alors qu’il a 4 ans et sa vie monastique prend fin : Les moines sont conduits loin, le monastère est réquisitionné et utilisé à des fins civiles ; Yuan Tze est alors reconduit chez lui pour vivre avec sa famille.
Il ne participe pas activement à l’éducation classique, néanmoins, pendant ces années de scolarité, Yuan Tze étudie secrètement les enseignements traditionnels dans les livres anciens, strictement bannis à l’époque. Il est captivé par cette sagesse traditionnelle qui le fait se sentir bien plus à la maison que le programme scolaire classique. Le défi de ces années ne se limite pas au travail académique : mal nourri et de petite taille, Yuan Tze était la cible de harcèlement à l’école. Pour cette raison, vers l’âge de 7 ans, il se lance dans l’apprentissage des art-martiaux et des bases du Qigong. Cet entraînement lui permet de se défendre et de mettre fin au harcèlement.
Au début de sa dixième année, il réalise que faire la police par l’usage de la force n’est pas la réponse adéquate : faire changer les comportements demande davantage. Il commence à regarder plus loin. Vivant au milieu des troubles liés à la révolution culturelle, il veut désespérément comprendre pourquoi il existe tant de douleur et de souffrance dans la société humaine. Sa puissante envie de s’aider lui-même et d’aider les autres le conduit sur un chemin de recherche et de découverte.
En 1979, il rejoint la marine et travaille au sein du département d’approvisionnement jusqu’en 1982. Durant ces trois années, il s’adonne à un entraînement soutenu de Qigong Taoïste.
À cette époque, le Qigong est interdit par le gouvernement Chinois, il s’y exerce donc secrètement et c’est ainsi que démarre son entraînement sérieux au Qigong. Après avoir quitté la marine, il est transféré vers sa ville natale où il travaille dans les affaires pendant les dix années suivantes.
Durant cette période, il plonge plus profondément dans l’entraînement du Qigong et étudie les théories du Qigong, du Taoïsme, du Bouddhisme, du Confucianisme, de la médecine traditionnelle chinoise ainsi que les arts populaires et la médecine. Il reçoit un entraînement auprès d’un certain nombre de grands maîtres très respectés dans divers domaines. Certains d’entre eux, des ermites solitaires, n’ont acceptés qu’un ou deux étudiants au cours de leurs vies et ne transmettent que difficilement leurs connaissances et enseignements. Yuan Tze se considère très chanceux d’avoir eu l’opportunité d’apprendre auprès de ces maîtres, d’avoir reçu leur précieux enseignement et un entraînement dans la plus pure tradition.
Peu après ses 20 ans, Yuan Tze commence à enseigner le Qigong et à soigner. Il acquiert ensuite un haut niveau de reconnaissance dans le milieu du Qigong en Chine : devenant un membre particulier de l’Association de Recherche Scientifiques de Qigong Chinois, plus haut institut en gouvernance de Qigong en Chine.
Ses soins aident beaucoup de personnes à régler leurs problèmes et plusieurs « guérisons miraculeuses » sont attestées. Néanmoins, beaucoup des gens qui le suivent, reviennent le voir : soit parce que leurs problèmes réapparaissent ou soit parce que d’autres problèmes surviennent. Il devient alors évident pour Yuan Tze que, aussi efficace que cela puisse être, la pratique du Qigong et les soins par le Qigong seuls ne suffisent pas à traiter les « causes racines » de la maladie. Il réalise que la maladie, la douleur et la souffrance proviennent souvent de la même origine. Ainsi, il démarre sa quête visant à trouver un outil efficace qui s’occuperait des « causes racines » de tous les problèmes, y compris de la maladie.
À 30 ans, Yuan Tze commence à créer un nouveau système de Qigong ; c’est alors qu’il croise le chemin du Zhineng Qigong. Comme, les méthodes du Zhineng Qigong et ses idées sous-jacentes sont très similaires aux siennes et comme ce Qigong est déjà pratiqué par un large nombre de personnes, il décide de reporter l’idée de promouvoir son propre système et choisit d’étudier le Zhineng Qigong au Centre Huaxia. À l’âge de 33 ans, il devient directeur d’une unité d’un département de rétablissement du Centre. L’unité héberge des personnes atteintes de maladies graves, compte 10 instructeurs/soignants et 400 patients.
Durant cette période, Yuan Tze obtient le meilleur taux de succès de guérison au Centre, y compris dans le traitement de cancers (44% de guérison) et de lithiases (cailloux, plus communément des reins et vésicules biliaires).
Il y a également des cas de régénération de tissus et d’organes chirurgicalement enlevés par le passé (incluant des os du crâne, des vésicules biliaires et des utérus). Un cas particulièrement impressionnant est celui d’un médecin de 39 ans dont le rein gauche a repoussé alors qu’il avait été enlevé au cours de son enfance.
Néanmoins, le temps passé au Centre Huaxia montre à Yuan Tze l’urgence d’établir un outil plus efficace. En 1996, il sent qu’il est temps qu’il quitte Huaxia afin de se concentrer au développement de cet outil. Au cours des quatre années suivantes, il établit deux centres de Qigong dans la province de Guangdong. En 2000 le gouvernement chinois, après avoir autorisé les activités liées au Qigong durant presque une vingtaine d’années, bannit à nouveau toutes les organisations de Qigong et leurs activités. Yuan Tze doit fermer ses centres et stopper tous ses travaux liés à cette pratique.
Début septembre 2000, il se concentre plus attentivement sur la totalité de la vie, spécifiquement sur la conscience humaine. Il cherche aussi des enseignants et apprend des méthodes internes traditionnelles, non-liées au Qigong, incluant le Taichi Style Yang Interne et Bagua. Durant cette période, la structure de base d’un nouveau système prend forme.
En 2002, Yuan Tze part pour la Nouvelle Zélande. Le système, longtemps en gestation, est maintenant établi : au début nommé Yuan Tze Science de la Vie Humaine , par la suite il va ensuite prendre le nom chinois originel, Yuan Tze Ren Xue (圓子人學) , ou REN XUE (人學) . Yuan Tze commence alors à promouvoir officiellement REN XUE en Nouvelle Zélande et dans le monde entier. Ces enseignements s’avèrent très efficients pour aider les personnes à comprendre leurs problèmes et apporter de profonds changements dans leur vie. À ce jour, Yuan Tze a publié 5 livres en lien avec ses enseignements. Il croit que REN XUE peut transformer la société afin qu’elle soit plus harmonieuse.
En 2003, le Centre Yuan Tze est établi à Wellington, Nouvelle Zélande. Dans les dix années qui suivent, Yuan Tze se concentre sur le développement du système REN XUE, et partage ses enseignements avec les personnes qu’il rencontre. À mesure que REN XUE devient de plus en plus établi, Yuan Tze voit le besoin d’un système de Qigong qui serait en accord total avec la théorie de REN XUE. Cette cohérence est essentielle pour préserver l’intégrité et l’efficacité de REN XUE. Afin de combler ce vide, il crée en 2013 un nouveau système de Qigong : le Yuan Gong Qigong. En 2014, un second outil est créé pour « guérir la vie » : Yuan Ming Médecine.
Dans un souci de pragmatisme, Yuan Gong Qigong et Yuan Ming Médecine servent parfaitement le système REN XUE.
Au cours des trente dernières années, par son travail, Yuan Tze a enseigné et transmis à beaucoup de personnes, avec des profils et des parcours divers. Il est capable de transmettre une sagesse profonde de la manière la plus accessible possible et sa présence inspire ceux qui souhaitent élever leurs vies. Estimé, par ses étudiants comme un enseignant hautement accompli, Yuan Tze se considère comme une personne ordinaire, n’ayant atteint aucun « niveau spécial » et n’ayant aucune « habilité spéciale ». Il se considère comme un cultivateur de vie, sincère, appliqué et heureux de transmettre ce qu’il a accompli.